Le secteur de la télésurveillance recrute des femmes et des hommes de profils variés, avec une expérience préalable en sécurité ou en reconversion professionnelle.
Découvrez le parcours de 4 de nos collaborateurs.
Sylvie DELECOURT, opératrice en télésurveillance, Bruges (33)
Depuis 30 ans, Sylvie évolue dans le secteur de la sécurité. Tour à tour convoyeuse de fonds, maître-chien et agente de sûreté aéroportuaire (ASA), elle découvre la télésurveillance en 2001. Pour exercer, les opérateurs doivent obtenir le diplôme d’Opérateur ou Opératrice Spécialisé(e) en Traitement d’Informations de Sécurité à Distance (OSTISD) qui donne accès à la carte professionnelle. Quand Sylvie entend parler des opportunités chez Sotel en 2022, elle se réjouit d’apprendre que la formation de 5 semaines est entièrement financée. Son diplôme en poche, elle prend son poste à la station de Bruges.
Après la formation, une période de 2 mois est prévue avec un tuteur. Ça me laisse le temps d’apprendre les logiciels et les processus de chaque client. Je peux poser toutes mes questions pour être à l’aise dans mon poste. En plus, l’ambiance du PC est très bonne !
Olivier FERRAND, gestionnaire de parc, Toulouse (31)
Ancien sous-officier d’infanterie dans le 1ᵉʳ régiment de chasseurs parachutistes à Pamiers, Olivier a quitté l’armée pour la télésurveillance en 2011. Il fait ses débuts chez Sotel en tant qu’opérateur, puis, après 4 ans, il est promu superviseur. Depuis décembre 2021, il occupe le poste de gestionnaire de parc, en appui technique aux équipes d’installateurs (renfort d’alarmes, contrôle qualité).
Je me suis retrouvé dans la sécurité par hasard ; c’est un ancien collègue de l’armée qui m’en avait parlé. J’apprécie la diversité du métier et les possibilités d’évolution.
Laurent GUIONNET, opérateur de saisie, Toulouse (31)
Après un contrat de 5 ans en gendarmerie, Laurent a choisi de rejoindre la sécurité privée. La cellule reconversion de la gendarmerie l’a aiguillé dans ses démarches. Ayant l’avantage d’avoir une carte professionnelle par équivalence, la transition s’est faite en douceur, après 3 mois de formation en station. Au bout de 2 ans au poste d’opérateur, Laurent est devenu tuteur et s’est chargé d’accueillir les nouveaux opérateurs.
Début 2022, Laurent postule en interne au poste d’opérateur de saisie du côté exploitation. Maintenant basé au siège social, il analyse les bases de données et travaille à éviter les alarmes intempestives.
Après 5 ans en gendarmerie, je suis arrivé chez Sotel et j’ai découvert ce qu’étaient les avantages sociaux : le CE, les primes…
Philippe LAMAZEROLLES, directeur d’exploitation, Toulouse (31)
Après son service militaire, Philippe découvre la télésurveillance dans l’est de la France. Il arrive chez Sotel en 1999, alors que l’entreprise est encore une petite structure avec un seul site à Toulouse. Grâce à un recrutement interne, il est promu chef de centre en 2003, puis responsable d’exploitation de la station de Toulouse en 2007. Début 2020, Philippe prend de nouvelles fonctions en tant que directeur d’exploitation du Groupe. Avec les récents rachats de sociétés, il travaille à l’intégration des nouvelles équipes et la formation aux méthodes de travail Sotel.
La télésurveillance n’est pas un secteur très connu. On y arrive presque tous par hasard.