A la rencontre d’un nouvel opérateur de télésurveillance chez Sotel
Nouvel opérateurs de télésurveillance chez Sotel, Benjamin C. s’est prêté au jeu de l’interview pour partager avec vous son parcours personnel et ses motivations qui l’ont conduits à rejoindre nos équipes. Fraîchement sorti de ses études en STAPS et réserviste dans l’armée, Benjamin a choisi d’embrasser une carrière dans le domaine de la sécurité, et plus particulièrement de la télésurveillance. Basé dans notre centre de Toulouse, il a bénéficié d’une formation de deux mois avec Sotel Formation pour se préparer au mieux à ses nouvelles responsabilités. Découvrez son parcours, son quotidien et ses motivations dans cette interview.
Peux-tu nous raconter ton parcours et ce qui t’as conduit à intégrer Sotel ?
Je m’appelle Benjamin C., j’ai 23 ans, je suis entré chez Sotel début avril 2023 suite à un cursus universitaire licence STAPS. Les secteurs de la sécurité et du sport m’ont toujours intéressé. J’ai donc décidé d’être réserviste militaire à 19 ans, et au fil des missions exécutées j’ai su que le secteur de la sécurité était celui qui m’intéressait.
Quel est ton poste au sein de Sotel et quelles sont tes fonctions ?
Je suis opérateur de télésurveillance, notamment sur le secteur bancaire. Mon travail travail consiste à traiter l’ensemble des alarmes déclenchées et d’assurer la sécurité des banques à distance à partir du centre de télésurveillance. J’assure la levée de doute pour toute anomalie à partir des images des caméras de vidéosurveillance ou encore des micros installés sur place.
Comment s’est déroulée ton intégration au sein de Sotel ?
Elle s’est très bien passée. Après ma formation, j’ai été rapidement intégré à l’ensemble de l’équipe, tout le monde était présent pour m’aider dès ma prise de fonction. Je n’ai eu aucune difficulté par rapport à ma formation de 2 mois. J’ai été réceptif à la façon de former de Jessica et Blandine. J’ai beaucoup aimé leur manière de me transmettre leur savoir-faire.
Peux-tu nous décrire ta journée type au centre de télésurveillance de Toulouse ?
Ma journée commence lorsque je me lève à 5h00 ou 5H30 pour une prise de poste à 6h00 du matin. On reçoit les alarmes tout au long de la journée en fonction de différents évènements. Cela débute tôt le matin, avant l’ouverture des agences bancaires lors des passages de fonds, l’arrivée des convoyeurs, etc.
C’est à l’ouverture des agences bancaires que l’on commence à traiter les alarmes mises en évidence par le personnel : agression, intrusion, suspicion, etc. Au fil de la journée nous avons également les passages cambistes qui viennent réapprovisionner les distributeurs de billets, faire des interventions sur les distributeurs. Tout cela génère des alarmes tout au long de la journée, que l’on traite au cas par cas.
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier d’opérateur de télésurveillance ?
Dans mon métier, ce que j’aime le plus, c’est le fait de pouvoir assurer la sécurité de différents publics : prestataires, clients, personnes, le tout à distance. Se sentir utile, c’est ce que je trouve le plus gratifiant dans ce métier. C’est aussi pour cela que j’ai choisi Sotel.
Pourquoi avoir rejoint Sotel ?
J’ai choisi Sotel notamment pour la réputation et l’ambiance de l’entreprise. Il y a aussi plusieurs mots clés qui m’ont marqué et qui ont fait sens pour moi, comme : l’écoute, la proximité et la réactivité. Les locaux étaient aussi en bon état, tout neufs : ça compte pour se sentir bien au travail ! Enfin, il y avait également une question de proximité : j’habite à seulement 6 kiloimètres m de mon lieu de travail. Tout cet ensemble m’a parlé, et c’est pour cela que je me suis tout de suite senti à l’aise chez Sotel.
Si comme Benjamin vous souhaitez vous lancer dans une carrière passionnante dans la télésurveillance et intégrer une équipe accueillante, sachez que Sotel offre un environnement de travail enrichissant et des opportunités de formation complètes avec Sotel Formation. Le secteur de la sécurité offre non seulement des défis stimulants et gratifiants en protégeant les personnes et les institutions.